Roland n'en pouvait plus. Avachi sur son bureau, il revenait pour la troisième fois sur une copie navrante de sa propre fille, qu'il avait eu le malheur de récupérer comme élève. Avant cela, il avait pu se voiler la face sur ses écarts, se dire qu'elle ne faisait que traverser une mauvaise passe, mais il avait de plus en plus de mal à y croire. Il lui fallait voir la vérité en face, elle n'avait que faire de l'éducation qu'elle avait reçu et, depuis quelques temps, était partie en totale roue libre, ce qui ne lui plaisait guère.

Outre son comportement insupportable, elle se croyait au-dessus de tout, que ce soit sur le campus ou à la maison. Cela se ressentait sur son travail déplorable, elle qui avait toujours été en tête de classe, auparavant. Il avait tenté plusieurs approches, pour tenter de redresser son comportement, mais avait toujours eu l'impression d'avoir l'effet inverse de celui escompté. Elle ne l'écoutait pas davantage, ni lui ni sa mère, son grand-frère se fichant finalement pas mal de ce qu'elle pouvait bien faire de sa vie, visiblement.

Comme si tout cela ne suffisait pas, elle se pavanait dans des tenues peu recommandables à l'école, et ne se gênait pas pour sortir vêtue uniquement de sous-vêtements à la maison, comme si de rien n'était. Le père de famille avait l'impression d'être tout seul à gérer tout ça, et avait déjà suffisamment à faire, il fallait donc trouver un moyen radical de changer les choses.

C'est pour cela qu'il revoyait les réponses pitoyables de sa fille, et qu'il l'avait convoquée directement dans la salle, à un moment où il n'y avait personne en classe, pour lui remonter les bretelles, une bonne fois pour toute. Soupirant, il remarqua qu'elle était, évidemment, en retard et commença à fulminer encore davantage. Elle ne faisait qu'aggraver son cas.

Assis à son bureau, scrutant l'écran de son portable, le père de famille était sans voix. Il connaissait déjà les penchants et la réputation de sa fille, mais il assistait à quelqie chose de totalement différent. Un élève de sa classe avait fait des allusions à un show d'Asumi qui faisait fureur, mais il avait voulu lui laisser le bénéfice du doute. Malheureusement, sa curiosité avait pris le dessus et il était tombé sur une mine de photos et vidéos, toutes plus obscènes les unes que les autres. Même si on ne voyait pas forcément bien son visage, il la reconnaissait sans le moindre mal.

Le regard rivé sur l'écran, il écuma une grande partie de ce qu'elle avait posté, sentant quelque chose le démanger. Une bosse bien formée dans son pantalon, il continua de scroll les publications de sa fille, passant la main sous ses vêtements, puis sous son caleçon, laissant sa main aller et venir sur son chibre bien dur et qui semblait en réclamer toujours plus.

S'approchant peu à peu de l'orgasme, il reluquait sa propre fille dans les situations les plus perverses, lorsqu'il entendit finalement des bruits de pas dans le couloir. Asumi ouvrit la porte sans frapper, évidemment, avant de parler à son propre père comme un sous-fifre ou quelqu'un sur qui elle aurait l'ascendant. Comment avait-il pu se planter à ce point, avec elle..? Il fallait faire quelque chose pour y remédier.

Il l'invita à s'approcher, se levant lui-même de sa chaise pour contourner son bureau, le téléphone à la main. Sans rien lui dire, il la dépassa pour s'assurer que la porte était bien fermée, avant de se rapprocher d'elle, jusqu'à ce que leurs deux corps s'effleurent.

-Effectivement, j'ai vu ça. Dit-il, en levant son portable pour lui montrer les dernières photos publiées, les sourcils froncés. Tu te rends pas compte de l'image que ça donne de nous ? Elle dirait quoi, ta mère, à ton avis ?

Le sang lui montant à la tête, mais également ailleurs, il l'attrapa par les épaules pour la balancer ventre contre son bureau, laissant dépasser sa croupe bien développée, ayant une vue plongeante sur ses formes et sa lingerie, qu'il pouvait voir détrempée. Il lui posa son portable devant le visage, lui passant toutes ses publications en mode diaporama, avant de lever une main inquisitrice. La maintenant de l'autre au niveau des épaules, pour l'empêcher de se redresser, il laissa s'abattre une paire de fessées qui lui fit rebondir ses fesses charnues, hors de lui.

-Sors moi ton portable, tu le reprendras quand tu te seras responsabilisée. Annonça froidement Roland, avant de laisser sa main frapper une nouvelle fois, puis deux, le regard fixé sur sa croupe où son traitement commençait à laisser l'empreinte rouge de sa main sur la peau nue, mais surtout son intimité, cachée par le fin tissu, au travers duquel on voyait clairement les preuves de ses ébats les plus récents. Il n'est pas trop tard pour refaire ta discipline, petite trainée !